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Le 1er avril, les lacs-réservoirs totalisent un volume de 664 millions de m³ (84 % de la capacité normale de stockage), inférieur de 3 millions de m3 à l’objectif de gestion et à l’objectif théorique.
Depuis 1999, année des derniers travaux de rénovation du pont-route du barrage de Pannecière, les effets du temps et les conditions climatiques ont porté atteinte à l’étanchéité du pont, pouvant nuire à la pérennité de l’ouvrage. Il est donc aujourd’hui important de le rénover.
Le 1er mai les lacs-réservoirs totalisent un volume de 707 millions de m³ (89 % de la capacité normale de stockage), inférieur de 17 millions de m3 à l’objectif de gestion et à l’objectif théorique.
Le 1er juin les lacs-réservoirs totalisent un volume de 704 millions de m³ (89 % de la capacité normale de stockage), inférieur de 50 millions de m3 à l’objectif de gestion et de 63 millions de m3 à l’objectif théorique.
Depuis 2018, dans le cadre du contrat de partenariat d’adaptation au changement climatique signé avec l’Agence de l’Eau Seine Normandie, Seine Grands Lacs s’est engagé à valoriser, préserver, restaurer et aménager des zones d’expansion des crues pour une gestion globale du risque inondation sur le bassin amont de la Seine (44 000 km²). Cette action est conduite désormais en synergie avec la Métropole du Grand Paris, qui mobilise les financements issus de sa taxe GEMAPI. Les ZEC, basées sur la nature, permettent de compléter l’efficacité de l’action des 4 lacs-réservoirs (+ de 800 millions de m³) et du casier pilote Seine Bassée de Seine Grands Lacs en matière d’écrêtement des crues du bassin de la Seine en amont de Paris.
Depuis 2018, dans le cadre du contrat de partenariat d’adaptation au changement climatique signé avec l’Agence de l’Eau Seine Normandie, Seine Grands Lacs s’est engagé à valoriser, préserver, restaurer et aménager des zones d’expansion des crues (ZEC) pour une gestion globale du risque inondation sur le bassin amont de la Seine (44 000 km²). A fin juin 2025, plus de 260 projets étaient accompagnés par Seine Grands Lacs et co-construits avec les collectivités, les agriculteurs et l’ensemble des acteurs locaux, en synergie et avec l’appui financier de la Métropole du Grand Paris.
Le 1er juillet 2025, Seine Grands Lacs a organisé la première édition des Rencontres INTERPAPI. Près de 150 participants étaient réunis pour un même but : mieux travailler ensemble pour prévenir les inondations sur le bassin versant amont de la Seine.
Situé dans l’Aube (10) près de Troyes, le lac-réservoir d’Orient, dit Seine, a été mis en service en 1966. Géré par Seine Grands Lacs, établissement public territorial de bassin qui en est également propriétaire, il a été érigé en dérivation de la Seine pour écrêter les crues du fleuve et soutenir son débit. C'est un lac fermé par cinq barrages : La Morge (1703 mètres de long, 24 mètres de haut), Beaumont (1078 mètres de long, 8,6 mètres de haut), Chavaudon (1017 mètres de long, 7,2 mètres de haut), Mesnil-Saint-Père (990 mètres de long, 4,1 mètres de haut) et Géraudot (862 mètres de long, 4,4 mètres de haut). Le barrage principal est celui de la Morge. La tour de restitution des eaux du lac y est ainsi reliée au moyen d’une passerelle.
Depuis 1966, les effets du temps ont causé de nombreuses dégradations (fissurations, cavités...) sur le revêtement bitumeux des différents barrages, au point de mettre en péril la tenue et la sécurité de l’ouvrage. Exceptées les réparations régulières, ponctuelles et localisées des équipes de Seine Grands Lacs, aucun travaux conséquent de réhabilitation des barrages n’a été réalisé depuis la création du lac. Il est donc aujourd’hui prioritaire de les rénover en profondeur, spécialement ceux de La Morge, Beaumont et Chavaudon, seules concernées par les travaux. Ces travaux s’inscrivent dans le cadre du règlement d’eau du 25 janvier 1978.