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Le bassin versant du Loing est régulièrement exposé aux débordements du Loing et de ses principaux affluents (l’Ouanne notamment), mais également aux ruissellements sur les têtes de bassins et aux remontées de nappes.
Dans la continuité du Programme d'études préalables (PEP) du Loing déjà co-animé par Seine Grands Lacs et l'EPAGE du Loing, le futur Programme d’Actions de Prévention des Inondations (PAPI) du Loing a pour objectif d’amplifier la dynamique engagée sur la prévention des inondations au travers d’une meilleure synergie territoriale et d’un travail renforcé autour des solidarités amont/aval et inversement.
Le 1er avril, les lacs-réservoirs totalisent un volume de 664 millions de m³ (84 % de la capacité normale de stockage), inférieur de 3 millions de m3 à l’objectif de gestion et à l’objectif théorique.
Depuis 1999, année des derniers travaux de rénovation du pont-route du barrage de Pannecière, les effets du temps et les conditions climatiques ont porté atteinte à l’étanchéité du pont, pouvant nuire à la pérennité de l’ouvrage. Il est donc aujourd’hui important de le rénover.
Le 1er mai les lacs-réservoirs totalisent un volume de 707 millions de m³ (89 % de la capacité normale de stockage), inférieur de 17 millions de m3 à l’objectif de gestion et à l’objectif théorique.
Le 1er juin les lacs-réservoirs totalisent un volume de 704 millions de m³ (89 % de la capacité normale de stockage), inférieur de 50 millions de m3 à l’objectif de gestion et de 63 millions de m3 à l’objectif théorique.
Le 1er juillet 2025, Seine Grands Lacs a organisé la première édition des Rencontres INTERPAPI. Près de 150 participants étaient réunis pour un même but : mieux travailler ensemble pour prévenir les inondations sur le bassin versant amont de la Seine.
Depuis 2018, dans le cadre du contrat de partenariat d’adaptation au changement climatique signé avec l’Agence de l’Eau Seine Normandie, Seine Grands Lacs s’est engagé à valoriser, préserver, restaurer et aménager des zones d’expansion des crues (ZEC) pour une gestion globale du risque inondation sur le bassin amont de la Seine (44 000 km²). A fin juin 2025, plus de 260 projets étaient accompagnés par Seine Grands Lacs et co-construits avec les collectivités, les agriculteurs et l’ensemble des acteurs locaux, en synergie et avec l’appui financier de la Métropole du Grand Paris.
Après quelques travaux préparatoires de réparation réalisés en interne, la deuxième phase des travaux de rénovation des barrages de Beaumont, La Morge et Chavaudon, sur le lac d'Orient, a commencé en août. Cette deuxième phase de travaux qui court jusqu’en octobre vise à enrocher le barrage de Chavaudon dans son intégralité. Elle fait suite à une première phase de travaux réalisés entre septembre 2024 et février 2025 qui a vu l'enrochement d'une partie des deuxième et troisième palier du barrage de La Morge.
En 2025, le remplissage des lacs-réservoirs a été satisfaisant, avec un maximum atteint le 13 mai, correspondant à 711 millions de m³, soit 90 % de la capacité normale des quatre lacs-réservoirs. Ce niveau a permis d’aborder la période estivale avec une réserve suffisante pour assurer le soutien d’étiage qui fut d’une part précoce cette année, et d’autre part marqué.
Située sur le rivage du lac du Der, l’église de Champaubert, propice à la création artistique, accueille chaque année des résidences d’artistes. Cette résidence a une triple vocation : valoriser le patrimoine de Seine Grands Lacs et sensibiliser le public à ses missions en utilisant un média moins institutionnel, diversifier le champ artistique local et soutenir la création en proposant un espace de travail exceptionnel. L’artiste ainsi accueilli, réalise dans ce cadre un projet spécifique avec les missions de Seine Grands Lacs (en lien avec la biodiversité, l’environnement, l’eau ou l’histoire des
lacs…). Le temps de création est ponctué d’interventions de sensibilisation culturelle auprès des habitants et des équipements publics du territoire (EHPAD,
écoles…). Cette année, c’est Ambre Bailet, jeune photographe de talent, qui a posé ses valises quelques semaines au bord du lac.
Au 1er juillet, les lacs-réservoirs totalisaient un volume de 684 millions de m³, soit 86 % de la capacité normale de stockage, inférieur de 5 millions de m³ à l’objectif de gestion et de 101 millions de m³ à l’objectif théorique.
Le 1er août, les lacs-réservoirs totalisaient un volume 580 millions de m³, correspondant à 73 % de la capacité normale de stockage, inférieur de 4 millions de m³ à l’objectif de gestion et de 27 millions m³ à l’objectif théorique.
Le bassin de la Marne moyenne entre Vitry-le-François (Marne) et Charly-sur-Marne (Aisne) est un territoire particulièrement exposé au risque d’inondations, où plus de 32 500 habitants et 20 000 emplois sont exposés aux débordements de la Marne. Les pouvoirs publics se sont ainsi organisés depuis plusieurs années pour y réduire de manière significative les risques des inondations. Un peu plus d’un an après son lancement, le programme d’études préalables (PEP) de prévention des inondations de la Marne moyenne franchit une nouvelle étape avec de nouvelles actions et maîtres d’ouvrage et un élargissement de son périmètre vers l’aval.
Le lac d’Orient est vidangé quasiment intégralement du 1er novembre au 15 décembre prochain. Cette vidange, exceptionnelle, résulte des travaux de rénovation des barrages de La Morge, Beaumont et Chavaudon. Ces trois barrages sont ainsi progressivement enrochés depuis septembre 2024. Après des premières phases de travaux d’enrochement du milieu et du haut des barrages, Seine Grands Lacs doit à présent enrocher le pied du barrage de La Morge, nécessitant de fait un abaissement conséquent du niveau d’eau du lac.
Le bassin de la Seine supérieure entre les sources de la Seine en Côte-d’Or jusqu’à la confluence entre la Seine et l’Aube à Marcilly-sur-Seine (Marne), est un territoire exposé au risque d’inondations, en particulier au niveau de l’agglomération troyenne. Les pouvoirs publics se sont ainsi organisés depuis plusieurs années pour réduire de manière significative les risques des inondations sur le territoire. C’est toute la raison d’être du programme d’actions de prévention des inondations (PAPI) de Troyes et de la Seine supérieure. Lancé en 2020 pour une durée de 6 ans, ce dernier entre en phase de bilan. Alors que de nombreuses actions majeures ont ou sont en train d’être mises en œuvre pour mieux protéger le territoire, élus et acteurs du territoire préparent déjà le prochain programme, avec, en perspective, un élargissement du périmètre d’action.
Le bassin de l’Yonne est un territoire très fortement exposé au risque d’inondations, particulièrement à l’aval, d’Auxerre à Montereau-Fault-Yonne, avec 26 430 habitants et près de 20 000 emplois directement exposés. Seine Grands Lacs et le Syndicat Mixte Yonne Médian, avec leurs partenaires et l’Etat, se sont ainsi organisés depuis plusieurs années pour réduire de manière significative les risques et les conséquences dommageables des inondations sur le territoire. Après plusieurs mois de concertation étroite, ils viennent de finaliser le programme et le dossier de candidature du futur programme d’actions de prévention des inondations (PAPI) de l’Yonne. Place maintenant à la consultation du public, du 25 novembre au 25 décembre, avant le dépôt du dossier pour validation auprès des services de l’État.
Le 1er septembre, les lacs-réservoirs totalisaient un volume de 443 millions de m³ (56 % de la capacité normale de stockage), supérieur de 5 millions de m3 à l’objectif de gestion et de 14 millions de m³ à l’objectif théorique.
Le 1er novembre, les lacs-réservoirs totalisent un volume de 167 millions de m³ (21 % de la capacité normale de stockage), supérieur de 26 millions de m³ à l’objectif de gestion et de 88 millions de m³ à l’objectif théorique.